Pages

lundi 23 juin 2008

Les photos arrivent bientôt mais pour le moement, 3 gros messages pour vous!

2008-06-23 : petite explication.

2h57, Tena, dans notre chambre d’hôtel où le ventilateur fonctionne à plein régime. Stephen et Alberto dorment, je brise mon sommeil et prend un peu de mon temps satisfaisant une vieille requête.

Je crois vous devoir quelques explications quant à mon changement soudain de style d’écriture. Le style d’un homme pressé qui a pour maître mot brièveté, productivité. Je dois vous avouer que ce n’est pas tout à fait de mon plein gré que ce changement d’écriture s’est opéré. Mais en tant qu’apprenti gestionnaire je ne peux m’empêcher de faire certains choix non pas par goût mais en visant le caractère optimal de mon action.

Mon discours pourrait être tout à fait différent en affirmant que ce n’est pas la contrainte qui a influé sur mon choix mais bel et bien mon libre arbitre qui s’est pleinement exercé.

Trêve de suspense ! Le projet Amazonie me fait débouler sur un autre projet d’une envergure comparable. Je travaille donc en ce moment « les deux fers à feu » pour reprendre l’une des expressions d’un de mes fameux profs de prépa à Tarbes.

Un travail dans la contrainte car le temps file à vive allure, j’aimerai vous donner plus de nouvelles, plus souvent, et de manière plus complète. Un travail issu de ma propre volonté car démarrer cette gigantesque entreprise me laisse entrevoir un travail titanesque. Mais le fait de me dire qu’il me reste encore beaucoup de montagnes à franchir avant d’arriver à un sommet qui ne sera probablement jamais assez haut me donne le sourire.

J’ai hâte de vivre ce qui m’attend ! Mais je vis pleinement les moments « présents » ou devrai-je dire les moments qui se trouvent dans cette brèche quasi impalpable compressée entre le passé et le futur. Laissez-moi donc m’insérer dans la brèche et palper quelques secondes l’impalpable caractère de ces moments. Le temps est bien plus précieux que l’argent…

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Oui, c'est certain vous avez entrepris une sacré entreprise qui demandera une relève lorsque vous serez partis. Et sans doute, comme je le disais à Stephen, le besoin de retourner à Campo Cocha lorsque vous aurez passé le flambeau pour revoir ceux avec qui vous partagez vos vies.
Une histoire qui dès qu'elle a germé continuera de vivre encore longtemps. L'aurais-tu cru à ce moment la ?
C'est tellement génial encore et encore BRAVO!
ISA